Le marché de l’art international étant
difficile, l'artiste des marchés de l’art non émergents se sent noyé dans la
masse, il ne suffit pas aujourd’hui d'avoir du talent, d'accrocher ses œuvres
aux cimaises et d'attendre comme le faisait souvent les galeries. Une simple
publicité ne suffit plus, sauf pour un artiste mondialement connu et encore, ce
n’est pas aussi facile.
A l’instar des autres régions du monde, les
marché de l’art non émergent ont besoin de se développer : techniquement, financièrement et psychologiquement. Ils s’amaigrirent et s'affaiblirent de
jour en jour. Les galeries des
marchés de l’art non émergents ne peuvent plus jouer les rôles fondamentaux qui
sont d’aider les artistes ou les sculpteurs à trouver leur place sur le marché
de l’art international. Aujourd’hui encore,
aucune galerie de ces marchés ne participe aux principaux grands rendez-vous artistiques internationaux.
Sans institutions professionnalisées, sans
cadres juridiques sérieux, sans ressources humaines qualifiées, sans
organisations crédibles et sans informations fiables, ce marché ne peut s'affirmer
pleinement. S’il n'arrive jusqu’à présent à émerger, c'est que de nombreux super-maillons importants n’existent pas
encore par exemple :
Pas de journaux de cotation
Pas de maisons d'assurance
Pas d'experts d'art assermenté
Pas de grands musées d’envergure internationale
Pas de galeries d’envergure internationale
Pas de maisons de vente
Pas de revues spécialisées, sont autant de
problèmes qui entravent les marchés de l'art non émergents. En effet, le marché
représente un secteur économique important, même si son chiffre d'affaires est totalement
difficile à calculer.
Aujourd’hui, les artistes des marchés
non émergents ont besoin d’un moyen pour exprimer leur capacité, se réunir au
sein d’une manifestation artistique maçonnique qui leur permet de partager leur
passion et montrer leur talent aux galeries, aux critique, aux collectionneurs
Francs-Maçons, d'avoir des contacts utiles et de lier connaissance les uns avec
les autres. Ils ont besoin d’un marché de l’art
structuré et transparent, qui leur sert de miroir et leur donne le pouls de la
scène artistique. Ils ont besoin aussi de savoir si ce qu’ils font à réellement
de la valeur ou si cela répond à des attentes réelles de l’humanité.
Un marché qui n’est pas réglementé par des
lois et des règles claires, respectées par tous, où la vente et l’achat se font
en l’absence de tout témoin, et dont le lieu et la date des transactions ne
sont connus de personne... est un marché clandestin et ceux qui y exercent le
font de manière clandestine, comme s’ils vendaient et achetaient des produits
illicites.
A suivre…..
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire
Remarque : Seul un membre de ce blog est autorisé à enregistrer un commentaire.