mercredi 7 septembre 2016

L’art et la culture : Les candidats n’en parlent pas durant la campagne des élections présidentielles haïtiennes, pourquoi ?

Extrait d’une interview de l’artiste peintre, commissaire d’expo Abdience Obin

Artistesbiographies : Monsieur Abdience Obin comment fonctionne un marché de l’art

Abdience Obin : A mon avis un marché de l’art devrait comprend les éléments suivants : posséder une fondation d’art, une réglementation sur l’acquisition par l’État ou les organismes publics d’œuvres d’art pour exposition, et davantage d’ouvrages d’art pour les lieux publics, au service de la vie culturelle de la population. Il s’agirait aussi de la disposition fiscale pour les entreprises qui soutiennent les activités artistiques, de mécénat et de parrainage, ainsi que de l’organisation des festivals des beaux-arts. Il serait également nécessaire de créer des centres d’évaluation et de vente aux enchères d’œuvres, ou encore, de mettre en place une Association des galeries d’art haïtien. Plus généralement, il serait impératif d’appeler au soutien des dirigeants à l’égard des activités artistiques, d’encourager les collectionneurs privés et la création de musées des beaux-arts privés.

Je pourrais dire que quant à une fondation d’art, «sur le plan des principes, sa création est très simple, mais le réel problème est de trouver des mécènes haïtiens et des parrains pour soutenir la fondation». L’État haïtien n’a aucune politique d’investissement dans les beaux-arts, et aussi il n’y a aucun candidat à la présidence qui en parle durant la campagne des élections présidentielles haïtiennes du 9 octobre 2016. L’État haïtien ne donne aucune priorité aux entreprises pour les encourager en ce sens, de sorte que celles-ci ne s’y intéressent pas ; et avec les rares d’entre elles pour qui c’est le cas, cela se limite à des relations purement personnelles avec l’artiste.

Artistesbiographies : vous connaissez un pays par exemple ?

Abdience Obin : Je connais un peu du marché de l’art français, les tableaux, notamment ceux des artistes peintres français, sont assurés comme des biens qui, comme tels, peuvent faire l’objet de transactions commerciales ou être donnés en hypothèque à une banque. Le commerce des tableaux, et de l’art en général, devient ainsi une forme d’investissement. En France, les œuvres d’art sont définies comme des biens mobiliers qui bénéficient d’une fiscalité spécifique : les œuvres d’art ne sont pas incluses dans l’assiette de l’ISF (impôt de solidarité sur la fortune). Certaines œuvres, considérées comme trésors nationaux, sont également interdites de vente.

Alors qu’en Haïti, on ne voit pas l’intervention de l’État ou d’organisations sociales dans le commerce de l’art. Certes, au-delà de la simple exigence économique se profile la nécessité d’une authentique culture de l’esthétisme, pour rendre l’art attrayant et concilier l’envie d’acquérir avec le plaisir d’admirer. Devant cette situation, une question se pose : quand les peintures haïtiennes seront-elles considérées comme un patrimoine de valeur, à l’instar de ce qui se passe dans d’autres pays ? Le développement de l’art a toujours été ignoré par les candidats aux différentes élections, qu'elles soient locales, législatives ou présidentielle. Aux acteurs du marché de l’art - les artistes, les collectionneurs d’art, les galeries d’art, les musées, les fondations d’art-, mais surtout, et en premier lieu, à l’État d’y répondre.

vendredi 2 septembre 2016

Les artistes peintres des marchés de l’art non émergents sont-ils les principales victimes des galeries ?

Extrait d’une interview de Mohamed Vasquez, Journaliste indépendant et spécialiste du marché de l’art non émergent asiatique.

Artistesbiographies : Mohamed Vasquez selon vous quel est le vrai but d'un contrat entre l’artiste et la galerie ?

Je pense que le but d'un contrat entre l’artiste et la galerie est de consolider la confiance entre les deux parties, ce qui n’est pas toujours le cas dans les marchés de l’art non émergents.  Ce que chacun attend, et ce que chacun ne veut pas. Un contrat se rédige ou se lit, se modifie et se discute avant signature. Il s'améliore et devient comme un vêtement sur mesure, parfaitement confortable et adapté à une situation. Le contrat entre l’artiste et la galerie doit être clair et compréhensible. Alors il permet d'asseoir la confiance mutuelle. Certes, il ne permet pas toujours de tout prévoir. Mais il est une base, la base sur laquelle se fondent les parties pour gérer l'imprévisible.

Le principal service offert à l’artiste par la galerie, alors c’est la représentation de l’artiste par la galerie. Dans leurs relations, il peut aussi inclure les services suivants :
  • La tenue régulière d’expositions dans ses locaux ;
  • La production et la distribution d’invitations, l’organisation de vernissages, la promotion et la publicité des expositions ;
  • La mise à jour du Curriculum vitae de chaque artiste représenté ;
  • La mise à jour du matériel visuel pour fins promotionnelles de chaque artiste représenté ;
  • Le maintien à jour d’archives sur les activités promotionnelles ;
  • Le démarchage de ventes auprès d’acheteurs publics ou privés ;
  • L’entretien de relations avec les collectionneurs et les clients corporatifs ;
  • La protection des droits légaux de l’artiste, dont les droits d’auteur, dans les activités impliquant la consignation des œuvres, la vente ou la promotion par la galerie
  • La collaboration avec l’artiste lors de concours ou de soumissions pour des commandes d’œuvres, ainsi que dans la préparation de demandes de subventions ;
  • Le maintien d’un registre de toutes les œuvres déposées en consignation, prêtées ou vendues.
Dans les marchés de l’art non émergents d’énormes de ces principes ne sont pas respectés par des galeries des marchés primaires. Les artistes sont des principales victimes des galeries.


mardi 30 août 2016

Le marché de l’art haïtien, est-il un marché de faux chiffres ?

Extrait d’une interview réalisée par l’Artistesbiographies
Interview : Saint-Fort BARTHELEMY spécialiste du marché de l’art des caraïbes.

Artistesbiographies: Y-a-t-il des prix de ventes raisonnables dans le marché de la peinture haïtienne ?
 Le marché de l'art haïtien n’existe pas, et s’il existe, il n'est pas régi par aucune loi spécifique. Les transactions se font donc librement entre l'artiste et l'acheteur. Chaque artiste peintre décide lui-même ses propres prix, des prix irréels des œuvres en dehors de tout critère objectif. Le jeune artiste haïtien réclame des prix de grands maitres de la peinture haïtienne comme Hector Hyppolite, Rigaud Benoit, Philome Obin Castera Bazile ou Wilson Bigaud.

Je pense que la galerie et l’artiste devraient convenir ensemble du prix de vente des œuvres. Les prix établis en galerie ne devraient pas inclure certaines taxes. Lorsque les prix sont établis, ils devraient être les mêmes partout. Dans l’intérêt des deux parties, abaisser ou élever les prix selon les lieux de vente n’est pas recommandé. Cette pratique mine la cote des œuvres de l’artiste et peut générer de la discorde entre l’artiste et la galerie. De temps à autre, l’artiste et la galerie devraient discuter d’une hausse du prix des œuvres si la valeur de celles-ci augmente.


Je pense qu’un marché qui n’est pas réglementé par des lois et des règles claires, respectées par tous, où la vente et l’achat se font en l’absence de tout témoin comme dans les ventes aux enchères, et dont le lieu et la date des transactions ne sont connus de personne, c’est un marché clandestin. C’est bien le cas du marché de la peinture haïtienne.

samedi 27 août 2016

Existe-il un marché de l’art en Algérie ?

Extraits d’une interview de Madame Zahia Guelimi. Directrice de la galerie Dar El Kenz de Chéraga, lors d’une interview accordée à l’occasion de ces vingt ans d’existence de sa galerie.

Y-a-t-il une marché de l’art en Algérie ?

Madame Zahia Guelimi : On ne peut pas dire que le marché de l’art existe en Algérie. Ce n’est pas parce qu’il y a  des clients qui achètent qu’on peut affirmer que le marché de l’art est en place. J’espère de tout cœur qu’il verra le jour. On en parle d’ailleurs beaucoup en ce moment. Il est vrai que cela commence à bouger. Les artistes peintres algériens s’impatientent. Ils réclament. Ils essayent de se faire entendre. Je pense qu’il va falloir attendre encore un peu pour voir le marché de l’art émerger. En tout cas, on le souhaite vivement. 

A travers votre action, vous tentez de donner une bonne visibilité aux travaux des  artistes... ?

Madame Zahia Guelimi : J’essaye de donner cette bonne visibilité des travaux des artistes. Les anciens n’ont plus besoin de moi. Ils sont maintenant connus, même si je continue à œuvrer avec eux. Les jeunes ont beaucoup de talent, mais ils n’arrivent pas à se faire une place. Ce que je regrette, c’est que les nouvelles galeries qui ouvrent  ne  prennent aucun risque. Elles ne contactent que les anciens peintres. Ce sont toujours les mêmes groupes de peintres qui se déplacent d’une galerie à une autre. Je pense qu’il faut prendre des risques en faisant confiance aux jeunes artistes. Un jeune qui a l’occasion de montrer son travail cela lui donne envie d’évoluer et d’avancer.

Cela est très important. Depuis que j’ai ouvert ma propre enseigne, il y a une dizaine de galeries qui en ont fait de même, mais qui ont fermé au bout d’une année ou une année et demie.  J’estime que ceux qui s’étaient lancé dans ce créneau avaient une fausse idée de la fonction d’une galerie. Beaucoup de gens pensent qu’une galerie se limite uniquement à accrocher des tableaux et de les vendre. Cela est faux. Il y a beaucoup à faire, de la  promotion et des contacts. Mais quand on exerce ce métier avec plaisir, on ne peut que réussir.

Un nouvel espoir pour les artistes peintres et les sculpteurs francs-maçons des marchés de l’art non émergents.

Extraits d’une interview de Monsieur Abdience Obin, PDG de l’Artistesbiographies, artiste peintre et commissaire d’exposition.

Artistesbiographies : Artistesbiographies revient après quelques mois d’absence pour une nouvelle orientation, Monsieur Abdience Obin, pouvez-vous nous parler d’Artistesbiographies dont vous êtes le PDG?

Abdience Obin: Oui, Artistesbiographies revient, après quelques mois d’absence pour une nouvelle orientation. Je peux vous dire qu’Artistesbiographies est une agence de presse de langue française. Elle est indépendante, spécialisée sur les marchés de l’art émergents et non émergents, ayant pour axes d’action de produire et fournir à ses clients une analyse et diagnostic très pointus sur les trois piliers du marché de l’art:
  • caractéristiques,
  • structures 
  • fonctionnement des marchés de l’art non émergents sous la forme d’interviews, rencontres débats et classements de l’écosystème de l’art.
Notre réseau constitue un grand nombre de professionnels confirmés du marché de l’art de divers horizons:
 Agents d’artistes, commissaires d’exposition, spécialistes des foires d’art contemporain, galeristes, directeurs de musées, Marchands d'art, critiques, spécialistes du marché de l’art, spécialiste en structures de musée et juristes apportent chacun des contributions originales qui font de l’Artistesbiographies l'outil indispensable aux collectionneurs et professionnels de l’art pour mieux comprendre l'évolution des marchés de l'art émergents et non émergents.

Artistesbiographies : Il y a beaucoup d’agences d’information numérique, pourquoi vouliez-vous en lancer une nouvelle?

Abdience Obin: Nous avons constaté très rarement que les medias traditionnels traitent et publient de grands dossiers sur les marchés de l’art émergents et non émergents particulièrement sur art maçonnique. L’Agence de presse « Artistesbiographies » se veut être différent de beaucoup de nos medias traditionnels qui offrent un monde sans beauté et sans saveur, un monde de faits divers. Artistesbiographies  s’intéresse à tout ce que les autres médias n’en parlent pas sur les marchés de l’art émergents ou non émergents.  Nous pensons qu’il est temps de parler du marché de l’art tous les jours, même s’il y a une faiblesse des politiques publiques pour le développement des marchés de l’art dans les pays non émergents.

L’une de nos missions, c’est de répertorier les artistes et sculpteurs de l’art maçonnique du monde entier puis, d’identifier et d’évaluer en profondeur l’évolution de l’écosystème des marchés de l’art non émergents. Déjà, nous avons contrôlé plus de 152 marchés de l’art non émergents dans 60 pays.

Grâce à notre base de données, les collectionneurs avertis et les mordus des arts peuvent accéder à des informations très détaillées. Artistesbiographies est désormais leader mondial de l'information sur les marchés de l’art non émergents.

Artistesbiographies propose deux services actuellement:
  • Elle envoie par email les nouvelles en temps réel des actualités du marché de l’art qui concernent spécifiquement ses clients.
Elle publie un dossier de presse chaque trois mois, disponible en français et en anglais. Elle détaille toute l’actualité du marché de l’art en question.


vendredi 26 août 2016

La ville Cap-Haitien hébergera, dès 2019, un musée dédié à des œuvres d’art de la Franc maçonnerie et des instruments de la musique haïtienne.

Pour perpétuer la mémoire des grands hommes disparus de la peinture et de la musique haïtienne. Nous, artistes peintres et sculpteurs Francs-Maçons d’Artistesbiographies International Press Agency et du collectif des plasticiens haïtiens du grand nord, réunis en conférence, les 23, 24 et 25 août 2016, à Port au Prince, sommes décidés d’héberger dans la deuxième ville d’Haïti, Cap-Haïtien en août 2019, un musée afin de mettre en valeur des œuvres d’art exceptionnelles jamais exposées de la Franc maçonnerie et des instruments de la musique haïtienne.

Cette initiative a été lancée au terme d’une réunion organisée, les 23, 24 et 25 août 2016, à Port au Prince, sur le thème « un foyer de vie culturelle pour demain ». Cette initiative est nourrie par le souci de réunir, de conserver et de valoriser les patrimoines maçonniques et musicaux haïtiens, en les mettant à la disposition du public dans le sens le plus large et le plus démocratique possible. Les participants à cette réunion ont décidé d’installer provisoirement ce musée dans  un ancien immeuble de la métropole du nord.

Nous, artistes peintres et sculpteurs Francs-Maçons d’Artistesbiographies et du collectif des plasticiens haïtiens du grand nord, constatons qu’il y a de grands noms des musiciens,  des sculpteurs et  des artistes peintres haïtiens qui sont plongés dans l’oubli. Il y a aussi des groupes musicaux qui ont marqué l’histoire musicale haïtienne jalonnée de succès, ici comme ailleurs.

Nous, artistes peintres et sculpteurs Francs-Maçons d’Artistesbiographies et du collectif des plasticiens haïtiens du grand nord, croyons que certains instruments et objets des musiciens de l’orchestre Septentrional, Tropicana, Skah Shah #1 et ceux de Tabou Combo peuvent aller dans un temple sacré.
D’autres instruments pourront être collectés:

  • le saxe du saxophoniste Ti Jacques alto de l’orchestre septentrional, et celui du maestro Ulrick Pierre Louis
  • le micro du grand chanteur inoubliable Emmanuel Antoine Jean-Baptiste dit « Ti Manno », les tambours de Wawa,
  • les tambours d’Azor, l’artiste qui est dignement campé comme l’un des artistes qui a contribué à l’essor de la musique racine.
  • les instruments du maestro Nemours Jean-Baptiste guitariste, saxophoniste inventeur du Konpa et chef d’orchestre et ceux de Webert Sicot, saxophoniste accompli,
  • Toto Bissainthe, Yole et Ansy Dérose, Leon Dimanche, Emma Archile, Manno Charlemagne leurs œuvres, leurs vêtements et leurs instruments méritent d’être disposés dans un lieu sacré.
De même, certains instruments des grands ténors du carnaval des années 70 - 80 :
  • Jazz des jeunes,
  • Fantaisistes,
  • Shleu Shleu,
  • Difficiles,
  • Scorpio universel,
  • DP Express,
  • Ibo Combo,
  • Méridional des Cayes,
  • les Frères de jean,
  • Magnum band de Dadou Pasquet le guitariste qui a tenté de complexifier notre compas),
  • Ensemble select de Jean Gesner Henry, surnommé Coupé Cloué– qui a insufflé à la musique dansante haïtienne un autre rythme, un autre feeling et a conquis l’Afrique et l’Amérique.

Aujourd'hui, le musée n'est pas seulement un conservatoire, il est un foyer de vie intellectuelle qui se manifeste par son rôle éducatif et culturel. On dit souvent que « le génie n’a qu’un siècle, après quoi il faut qu’il dégénère »  dégénère ne veut pas dire oublier. Car nous les humains nous nous empressons trop de brûler les feuilles mortes, oubliant qu’elles servent de terreaux aux arbres. Souvent nous n’avons pas conscience de ce qui fait la source de notre inspiration, de notre vie en générale et de notre vie culturelle en particulier.

Nous, artistes peintres et sculpteurs Francs-Maçons d’Artistesbiographies International Press Agency et du collectif des plasticiens haïtiens du grand nord, croyons qu’aujourd’hui en Haïti, il n'existe aucun lieu pour questionner ou regarder des œuvres d’art emblématiques des artistes peintres et des sculpteurs francs-maçons ou des anciens instruments et autres de la musique haïtienne.

Le Musée d’art de la franc-maçonnerie et d’histoire de la musique haïtienne va ouvrir en 2019 au Cap-Haitien à la demande des citoyennes et des citoyens nationaux qui souhaiteraient qu’une institution soit chargée de constituer une collection d’œuvres d’art exceptionnelles et d’histoire de la musique haïtienne.

De la mode à l’artisanat, en passant par le spectacle, l’art ou la culture fait partie des secteurs les plus importants qui accompagnent les citoyens haïtiens dans leur vie quotidienne. Les arts et de la culture leur permettent d'intégrer un milieu particulier capable de les éloigner de leur stress quotidien et de trouver une ambiance chaleureuse. Hélas, le développement de ces secteurs ont toujours été quelque peu ignoré par les responsables politiques haïtiens. Les musiciens, les artistes peintres et les sculpteurs haïtiens ne méritent pas seulement des hommages, ils ont besoin aussi que leurs œuvres entrent dans un sanctuaire, un lieu consacré de recherches intellectuelles. Les enfants et les étrangers qui avaient entendu parler de Gérard Dupervil, Nemours Jn Baptiste, Roger Colas, Ulrick P. Louis et autres, auront la chance de voir ou de palper un objet appartenant à ces génies.

En fin, Nous, artistes peintres et sculpteurs Francs-Maçons participant à cette réunion, avons souligné l’impérieuse nécessité de sauver le projet de la cité de la culture, avant qu’il ne se transforme en un cimetière de rêves de tous les créateurs et artistes haïtiens.

Des maintenant, Nous, artistes peintres et sculpteurs Francs-Maçons d’Artistesbiographies International Press Agency et du collectif des plasticiens haïtiens du grand nord, lançons un vibrant appel à tous les collectionneurs haïtiens, les familles et amants des musiciens disparus, des musiciens haïtiens encore vivants, des artistes peintres et des sculpteurs haïtiens en Haïti et en la diaspora peuvent nous rejoindre dans le but de contribuer à former le patrimoine d’objets d’art dont le Musée d’art de la franc-maçonnerie et d’histoire de la musique haïtienne doit assurer la gestion, la conservation et la valorisation.

                                                      

jeudi 25 août 2016

Les trois grades du Grand prix international de l’art maçonnique

La direction générale d’Artistesbiographies a le plaisir de vous présenter les distinctions des trois grades du marché de l’art maçonnique: Chevalier, Officier et Commandeur.