samedi 31 octobre 2015

La collection de la reine Marie-Antoinette sera en vente aux enchères

Ce mardi 3 novembre 2015, Christie's organise à Paris une vente d'objets ayant appartenu à la reine Marie-Antoinette. Certains sont rares et les 120 lots sont estimés entre 650 000 et un million d'euros.

La "collection de la reine Marie-Antoinette", mise aux enchères par la maison Christie's le mardi 3 novembre 2015, c'est un ensemble de tableaux, dessins, livres et objets d'art ayant appartenu à la reine, et dont elle se servait au quotidien. Certaines pièces n'ont cependant pas une grande valeur marchande mais rappellent la fin de sa vie dramatique.


Marie-Antoinette Josèphe Jeanne, archiduchesse d’Autriche, princesse impériale, princesse royale de Hongrie et de Bohême, (née le 2 novembre 1755 à Vienne – morte le 16 octobre 1793 à Paris), fut la dernière reine de France et de Navarre (1774–1792), épouse de Louis XVI, roi de France et de Navarre.

mercredi 28 octobre 2015

Interview du grand Sculpteur haïtien Lobenson Civilma (Suite)


Date 28/10/2015
Publiée par Artistesbiographies
Artistesbiographies

 Artistesbiographies: Quels thèmes abordes-tu principalement ?
Lobenson Civilma : Je suis un sculpteur réaliste et je m’intéresse beaucoup aux grands hommes qui ont marqué l’histoire.

Artistesbiographies: Lobenson Civilma, Quels sont les avantages et les inconvénients du métier ?
Lobenson Civilma : Je vais commencer par les avantages; c’est un peu philosophique, mais j’éprouve un immense plaisir à créer des œuvres. Quand je sculpte je peux enrichir l’histoire, immortaliser la beauté, la laideur… - Maintenant les inconvénients les plus fréquents dans mon quotidien; le coût des matériaux, le manque de considération parfois… la liste est longue mais je garde le cap!

Artistesbiographies: Certains, qui ne vous connaissent pas, pourraient dire de vous que vous êtes un original. Qu'auriez-vous envie de répondre en pareil cas ?

 Lobenson Civilma : Original, ça veut dire quoi? Si un artiste n’est pas original alors il doit changer de métier.  

Artistesbiographies
Artistesbiographies: Mais êtes-vous sensible aux critiques artistiques?

 Lobenson Civilma : Oui je suis très sensible aux critiques artistiques, ça m’aide à grandir.

Artistesbiographies: Lobenson Civilma, Avez-vous des projets en cours ou à venir dont vous aimeriez nous parler ?
Artistesbiographies

 Lobenson Civilma : Je travaille actuellement sur un projet intitulé « Heroes of Independence », j’ai déjà réalisé le buste des deux chefs de file de la révolution haïtienne Toussaint Louverture et Jean Jacques Dessalines.

Artistesbiographies:Ya-t-il certaines de vos œuvres que vous trouvez aujourd’hui imparfaites alors qu’elles vous semblaient totalement abouties auparavant ?

Lobenson Civilma : Oui, je suis un éternel insatisfait. C’est aussi ce qui me permet de progresser.

Artistesbiographies: Avez-vous des critiques sur le marché de l’art haïtien ?

Lobenson Civilma : En Haïti « Mache a gen mèt » Quel est le conseil que vous donneriez à un jeune qui souhaiterait se lancer dans la même voie que vous ? - Un jour sans travailler c’est perdu d’avance.

Interview du grand Sculpteur haïtien Lobenson Civilma

Date 28/10/2015
Publiée par Artistesbiographies

Artistesbiographies: Lobenson Civilma, Nous aimerions mieux vous connaître, pourriez-vous nous parler un peu de vous et de vos passions ?

Lobenson Civilma
Lobenson Civilma : Je suis né, le 7 octobre 1982 à Port-au-Prince, Haïti. Après des études classiques, j'ai étudié l'Art Plastique au Centre d'Art de Port-au-Prince, puis l'Histoire de l'Art & Archéologie à l'Université d'Etat d'Haïti (IERAH/IRESS), J’ai enfin obtenu un diplôme de plasticien après 4 ans passé à l'ENARTS (école nationale des arts). 
Durant cette période j’ai suivi pendant deux ans une formation diplomate de muséologie et conservation du patrimoine à l’Université de Quisqueya en collaboration avec le collège Montmorency du Québec. - J’ai commencé à sculpter en 2007, aujourd’hui cela fait partie de moi. J’éprouve un bien être quand je sculpte, c’est pour moi une véritable obsession!

Artistesbiographies: T’es tu dis un jour je serai sculpteur ?

 Lobenson Civilma : J’ai une image qui me revient; j’avais à peine 12 ans, et sur mon passage, en ville, se trouvait le monument d’Elie Dubois dans la cour du collège qui porte le même nom… j’étais fasciné, émerveillé… à ce moment-là je me suis dit « un jour je serai sculpteur ».

Artistesbiographies
 Artistesbiographies: Est-ce que tu peins également ?

Lobenson Civilma : Oui, d’ailleurs l’une de mes toiles est exposée à l’ambassade des États-Unis. Je dessine et je peins depuis l’enfance.

 Artistesbiographies: Quels artistes t’ont inspiré ou influencé ?
 Lobenson Civilma : L’artiste qui m’a le plus inspiré est Michel-Ange; ces sculptures sont vivantes!

Artistesbiographies: Tu sculptes d’après une miniature, un dessin, … ?
 Lobenson Civilma : Je m’adapte, mais le plus souvent je sculpte à partir de photos.

lundi 26 octobre 2015

Artprice dresse un nouveau bilan du secteur de l'art contemporain

Selon un nouveau  bilan du secteur de l'art contemporain dresse par Artprice, sur  les plus gros chiffres lors des ventes aux enchères entre juillet 2014 et juin 2015, l’artiste peintre  américain d'origine haïtienne et portoricaine Jean-Michel Basquiat est en tête du classement. Jean Michel Basquiat, l'artiste le plus vendu cette année.

Jean-Michel Basquiat -  18 % des recettes mondiales de l'art contemporain reposent sur trois artistes : Jeff Koons, Christopher Wool et en première position Jean-Michel Basquiat. Son produit de ventes s'élève à 125.821.223 de dollars. La revente de 'Orange Sports Figure' payé 66.000 $ au début des années 1990, a atteint plus de 8,8 millions de dollars le 1er juillet dernier chez Sotheby's.

Rappelons que Jean-Michel Basquiat, né à Brooklyn le 22 décembre 1960 et mort le 12 août 1988 à SoHo, est un artiste peintre américain d'origine haïtienne et portoricaine. Il devient très tôt un peintre d'avant-garde très populaire et pionnier de la mouvance « underground ».

mercredi 21 octobre 2015

La FIAC a ouvert ses portes



C'est l'évèment artistique annuel de l'art contemporain à Paris: La Fiac, foire internationale d'art contemporain se tient du 22 au 25 octobre sous les superbes verrières du Grand Palais.
La 42ème édition de la Foire internationale d'art contemporain (FIAC) a ouvert ses portes avec 23 pays présentés 

Fiac 2015 Paris : cinq galeries fêtent leurs anniversaires

Date: le 21/10/2015

Par un hasard de calendrier, plusieurs galeries fêtent leurs anniversaires cet automne : 90 ans de la galerie Jeanne Bucher (Paris) ; 20 ans de présence parisienne pour la doyenne new-yorkaise Marian Goodman ; 35 ans d’activité pour Chantal Crousel (Paris) ; 25 printemps pour Continua (San Gimignano) et enfin dix bougies pour Laurent Godin (Paris).

Galerie Jeanne Bucher

Jeanne Bucher, née à Guebwiller, est la sœur de Pierre Bucher. Elle arrive à Paris en 1920 où elle fréquente Edmond Bernheim, Jean Lurçat, Dollie et Pierre Chareau, et Jean Dalsace.
Elle ouvre sa première galerie-librairie dans une annexe de la boutique d'exposition Pierre Chareau où elle rencontre l'écrivain-éditeur Georges Hugnet. Ses premiers accrochages sont dédiés au cubisme et surtout aux sculptures de Jacques Lipchitz. Lorsque les difficultés financières la contraignent à vendre sa galerie d'art, elle participe aux expositions organisées par Marie Cuttoli, rue Vignon. En 1936, elle rouvre une galerie au 9 boulevard du Montparnasse, toujours très entourée par l'amitié de Jean Lurçat et de Georges Hugnet, qu'elle expose entre autres. Elle expose des œuvres de Pablo Picasso, Joan Miró, Kandinsky, Henri Laurens,Georges Gimel, Jacques Lipchitz, Max Ernst, Nicolas Eekman, Jean Signovert…

Marian Goodman
Marian Goodman est une galeriste américaine, installée à New York et Paris, et spécialisée dans l'art contemporain.
En 1965, Marian Goodman fonde une petite maison d'édition indépendante, spécialisée dans la publication de monographies ou de textes d'artistes contemporains américains post-modernes ou minimalistes comme Dan Graham, Sol Lewitt ou Robert Smithson et du pop art comme Roy Lichtenstein ou Andy Warhol. Cette expérience concluante, la poussa à étendre son champ artistique et notamment a tisser des liens avec les artistes contemporains européens comme Joseph Beuys ou Gerhard Richter qu'elle fit connaître par le livre au public américain.
En 1977, elle ouvre sur la 57e rue de Manhattan à New York sa première galerie avec une exposition de Marcel Broodthaers puis avec le succès une seconde galerie rue du Temple à Paris en 1999.





Galerie Chantal Crousel

Depuis sa création en 1980, Chantal Crousel n’a cessé de faire découvrir au public et aux institutions françaises et internationales l’oeuvre d’artistes d’origines très diverses qui ont en commun de révéler les valeurs essentielles qui animent la société contemporaine – chacun puisant dans ses acquis culturels propres pour énoncer des propositions en un langage universel et puissant. Le groupe qui constitue la ligne directrice de la galerie est régulièrement rejoint par des jeunes artistes dont le travail reflète la constante évolution du regard artistique. La grande majorité de ces artistes sont maintenant présents dans les plus importantes collections publiques et privées du monde. La Galerie Chantal Crousel represente ses artistes dans les plus grandes foires d’art : Art Basel, Art Basel Miami Beach, FIAC, Art Dubai, Hong Kong Art Fair, Frieze Art Fair, Artissima.

Galleria Continua
La Galleria Continua a été créée à San Gimignano (Toscane) en 1990 par trois amis : Mario Cristiani, Lorenzo Fiaschi and Maurizio Rigillo. Fidèle à son constant esprit d'évolution et déterminée à faire découvrir l'art contemporain à un public aussi large que possible, Galleria Continua s'est construit une identité forte grâce à ses rencontres et à ses expériences pendant les vingt ans de son existence. Cette identité est ancrée dans deux valeurs essentielles, la générosité et l'altruisme, qui forment la base de ses rapports avec les artistes comme avec le public et qui fondent son développement même. L'esprit de Galleria Continua, c'est le désir d'une continuité entre les époques et l'envie de contribuer à l'écriture de l'histoire actuelle, une histoire qui soit sensible aux pratiques créatrices contemporaines et désireuse d'enrichir les liens entre passé et présent comme entre personnes et territoires différents et insolites.
Le 21 octobre 2007, Galleria Continua a inauguré un site d'un genre particulier, dédié à la création contemporaine dans la campagne près de Paris. Selon le rythme des saisons, le Moulin accueille plusieurs fois par an des projets et des expositions d'?uvres d'art monumentales par des artistes des cinq continents.
Le site, une ancienne usine rénovée de 10.000 m2, connaît une nouvelle vie artistique avec déjà 30.000 visiteurs venus du monde entier pendant ses trois premières années.
A partir de 2008, Galleria Continua y a développé un nouveau type d'exposition avec Sphères, une exposition collective où sont invitées chaque année plusieurs autres galeries internationales, ce qui permet au visiteur de voir bon nombre d'artistes de renom.
Ainsi une nouvelle effervescence culturelle se fait jour dans la région, générant un intérêt nouveau, une énergie et une identité culturelle autour du Moulin. Cette curiosité, cette excitation et cet engagement sont le fait aussi bien des habitants de la région que des Parisiens et des visiteurs internationaux. Le site, tout en ayant un objectif économique, s'adresse au public et à ses attentes.

Laurent Godin

Après avoir été aux manettes d’un espace public à Lyon, Laurent Godin se fait rapidement une place sur la scène parisienne avec sa petite galerie, inaugurée en 2005. Au programme : un mélange aussi trans-générationnel d’artistes contemporains, français et internationaux. À deux pas du Centre Pompidou, Wang Du, l’expert du papier froissé, croise Haim Steinbach, roi du néo-pop new-yorkais et Vincent Olinet, dont les installations étranges sont souvent imbibées d’eau et d’interrogations historiques. Godin, qui ne rate pas une édition de la FIAC ou de Paris Photo, propose aussi des multiples (œuvres originales existant en plusieurs tirages) à ses clients, dans l'idée de promouvoir l’accessibilité de l’art contemporain.

mardi 20 octobre 2015

FIAC paris 2015 accueillera 23 pays

Jour J-1, la FIAC 2015 se tiendra au Grand Palais, au Jardin des Tuileries, Jardin des Plantes, Place Vendôme, et sur les berges de Seine du 22 au 25 octobre 2015. Elle accueillera cette année 175 galeries d'art de 23 pays différents, dont 46 galeries françaises et 20 nouvelles galeries pour découvrir le meilleur de l'art contemporain sous la nef du Grand Palais.

1.       France : 46 galeries
2.       ÉTATS-UNIS : 35 galeries
3.       Allemagne : 26 galeries
4.       Royaume-Uni : 14 galeries
5.       Italie : 10 galeries
6.       Belgique : 9 galeries
7.       SUISSE : 6 galeries
8.       BRÉSIL : 5 galeries
9.       Espagne : 4 galeries
10.   Autriche : 3 galeries
11.   CHINE : 3 galeries
12.   Mexique : 3 galeries
13.   LIBAN : 1 galerie
14.   PAYS-BAS : 1 galerie
15.   ROUMANIE : 1 galerie
16.   TURQUIE : 1 galerie
17.   CANADA : 1 galerie
18.   COLOMBIE : 1 galerie
19.   CORÉE DU SUD : 1 galerie
20.   DANEMARK : 1 galerie
21.   ÉMIRATS ARABES UNIS : 1 galerie
22.   INDE : 1 galerie
23.   ISRAËL : 1 galerie

Plusieurs milliers de visiteurs pour la réouverture du musée de l'Homme à Paris

Des milliers de visiteurs ont découvert le samedi 20 octobre 2015 dernier le nouveau musée de l'Homme à Paris, métamorphosé après six ans et demi de fermeture pour travaux.

"Le musée de l'Homme a déjà accueilli 6.583 personnes", a indiqué le musée. Une affluence conforme à ses attentes puisqu'il vise "15.000 visiteurs pour les trois premiers jours" de sa réouverture où l'accès est gratuit. "Le public était familial, toutes les générations étaient représentées", a précisé le musée.

Avant sa rénovation, cet établissement accueillait environ 150.000 personnes par an. Il espère en recevoir 400.000 lors de cette première année. Le musée de l'Homme est un musée national français dont la vocation est de présenter l'humanité dans sa diversité anthropologique, historique et culturelle.
Rénové, lumineux, avec ses larges volumes et sa vue sur la Tour Eiffel, le musée propose maintenant une scénographie moderne, presque dépouillée.

Le projet scientifique a été totalement repensé. La galerie permanente s'articule autour de trois questions fondamentales "Qui sommes-nous ? D'où venons-nous ?" mais aussi "Où allons-nous ?".
Pour répondre à ces questions: des collections de plus de 700.000 objets de préhistoire et de 30.000 ensembles d'anthropologie, auxquels s'ajoutent 6.000 objets "illustrant l'appropriation de la nature par les sociétés humaines".


dimanche 18 octobre 2015

Il faut ouvrir un Marché d’Art Caribéen en Martinique.

Artistesbiographies: Fred Eucharis, Quelles sont les grands problèmes du marché de l’art de la Martinique ?

Fred Eucharis : C’est la réflexion que m’a été faite il y a 15 ans par un chasseur de tête de chez Sotheby’s Londres.<<Vous avez d’excellents artistes (+ de 300)dans ce pays et pas de galerie pour les mettre en valeur. Quel dommage je suis venu dans ce pays voir le travail des artistes, je repars déçu>>

Artistesbiographies: Peut-on compter sur les galeries d’art Martiniquaises  pour la promotion des artistes à l’étranger.

Fred Eucharis : Hélas il n’y a que 3 points d’exposition en ce pays qui fonctionne individuellement et difficilement, les autres ont fermés ou se sont sur le point de fermer en si peu de temps.il y a  aussi un copinage assez fermé qui sélectionne une qualité d’artistes qui ne sont que des plasticiens se définissant comme étant les seuls et véritables artistes martiniquais. Les autres artistes peintres sont pratiquement considérés comme « peintre du dimanche »cette mentalité provinciale ne montre pas de solidarité entre artistes et anhile ainsi toute promotion vers l’étranger. D’autre part les problèmes douaniers font que la Martinique n’est plus française lorsqu’il faille exposer en France.il faut déclarer les œuvres qui partent de ce département français vers un autre département  en France. Ce qui serait aberrant de La Bretagne à la Provence, et qui n’existe pas de la Martinique à la Guadeloupe. Nos politiciens députés classe ceci « hors propos »ils n’en font pas cas d’ailleurs sont trop politisés pour constater les dégâts qu’ils font à l’Art.

Artistesbiographies: Le marché de l'art caribéen dans une impasse difficile qu’est- ce qu’il faut faire  pour remédier la situation ?

Fred Eucharis : Lors d’un déjeuner organisé par un grand mécène dirigeant la Fondation Clément, j’ai eu à échanger quelques idées avec  le PDG de Christie’s America qui m’a assuré que si les responsables de la culture dans ce pays, ne font pas connaitre à l’étranger nos artistes sans faire de copinage, l’avenir de l’Art en Martinique n’aura pas grande réputation et s’éteindra à petit feu. 

Mon idée depuis 20 ans : Il faut ouvrir un Marché d’Art Caribéen en Martinique.


Non pas comme ce marché fantoche fait par la mairie du Marin, mais un marché sans sélection d’artistes (plasticiens-peintre sculpteurs-photographes).Avec des Artistes-invités venant de toute la Caraïbe, de Miami au Venezuela. Ce marché doit se faire dans une période d’une semaine en 3 points clefs : le Marin-Fort de France- Saint Pierre-Carbet. En faisant participer  tous les fashions de l’ART et les Compagnies aériennes,(organiser des concours avec accès à une billetterie gratuite)cela permettrait de développer le tourisme en faisant visiter ce pays pendant cette semaine. Ainsi la Martinique avec de bons organisateurs seraient sur le plan international au bout de 5 ans ce qu’Angoulême est à la bande dessinée. Le pôle plus de la Peinture Caribéenne de Miami au Venezuela.

samedi 17 octobre 2015

Artistesbiographies International Press Agency: Il y a des valeurs sûres dans le marché de l’art ...

Artistesbiographies International Press Agency: Il y a des valeurs sûres dans le marché de l’art ...: Artistesbiographies:   Y-a-t-il des valeurs sûres dans  le marché de l’art Martiniquais? Fred Eucharis  : Oui de bonnes et excellentes p...

Il y a des valeurs sûres dans le marché de l’art Martiniquais

Artistesbiographies: Y-a-t-il des valeurs sûres dans  le marché de l’art Martiniquais?
Fred Eucharis : Oui de bonnes et excellentes pointures.


Artistesbiographies: Le marché de l’art Martiniquais quelle est sa taille économique ?

Fred Eucharis : Infime. Chacun fait sa petite cuisine ; Je fais partie des quelques peintres (2 ou 3) cotés à drouot-cotation.com. Je suis parmi les meilleurs peintres appréciés et vendus en Martinique. J’ai très très peu de toiles achetées par des martiniquais, par contre toutes mes œuvres sont expédiées la plus part à l’étranger. Fortement appréciées et achetées par des femmes et hommes d’affaires de passage. Ces achats sont renouvelés quand ils reviennent. Voyant ma position excellente sur le plan peinture dans ce pays, En 2000 j’ai voulu savoir quel était mon niveau international, j’ai fait « le Salon des Artistes Français » à Eiffel Branly (Paris)avec un collectif de 850 artistes internationnaux.3 jours après le vernissage, j’ai été sollicité par des marchands et galeries parisiennes et canadiennes.6 mois après j’ai participé au Salon des Indépendants au Gd Palais,(Paris)ce fut l’apogée, le commissaire-priseur Soriano m’a proposé une inscription à Drouot-cotation. Depuis ma cote est passée de 20€ le point à 113€ en 2008.Je me suis arrêté à 100€ afin que tout le monde s’en sorte lors d’une vente(acheteurs-galeristes et moi).Mais mon problème reste le même, je dois m’arrêter 1 an afin de produire une collection à exposer, car tout est vendu au fur et à mesure.

Artistesbiographies: Fred Eucharis, Quelles sont les grands problèmes du marché de l’art de la Martinique ?

Fred Eucharis : C’est la réflexion que m’a été faite il y a 15 ans par un chasseur de tête de chez Sotheby’s Londres.<<Vous avez d’excellents artistes (+ de 300)dans ce pays et pas de galerie pour les mettre en valeur. Quel dommage je suis venu dans ce pays voir le travail des artistes, je repars déçu>>

Un musée à la mémoire de grands noms de l’art et la culture Haïtienne


Date: le 17/10/2015
Publiée par: Artistesbiographies

Haïti - FLASH : Un musée à la mémoire de grands noms de l’art et la culture Haïtienne, sera créé par le candidat à la présidence Moise Jean Charles.

Artistesbiographies : Pourquoi les programmes des candidats aux élections présidentielles en Haiti font-ils si peu de place aux propositions en matière de politique artistique et culturelle ? Est-ce que cela traduit un vide général d’idées ?

Maestro Ulrick Pierre Louis
L'artiste peintre Philome Obin
Un membre de Campagne de Moise Jean Charles qui garde l‘anonymat: ooooooh non, Souvent nous n’avons pas conscience de ce qui fait la source de notre vie en générale et de notre vie culturelle en particulier. Nemours Jn Baptiste (inventeur du Konpa et chef d’orchestre, Webert Sicot, saxophoniste accompli, Gesner Henry, alias Coupé Cloué – qui a insufflé à la musique dansante haïtienne un autre rythme, un autre feeling et a conquis l’Afrique et l’Amérique, d’Azor, l’artiste qui est dignement campé comme l’un des artistes qui a contribué à l’essor de la musique racine, Gérard Dupervil, Charlemagne Pierre Noël, EMMANUEL Turenne, Daniel Larievire de l'Orchestre tropicana d’ haiti,  Emmanuel Antoine Jean-Baptiste « Ti Manno »,  Roger Colas, Ulrick Pierre-Louis de l‘orchestre septentrional,  Philomé Obin, Jean-Claude Garoute, dit Tiga, Ismael Saincilus, jean René Jerome et les autres musiciens et artistes peintres sont  de nos sources.

(Pitit Dessalines) Pour perpétuer la mémoire de ces grands hommes disparus de l‘art et de la culture haitienne, nous tenont à vous informer aujourd’hui la création prochaine d’un  musée de l’Histoire de la musique et de la peinture haïtienne tout de suite, destiné à réunir, de faire connaître, de promouvoir, de conserver des instruments et des objets d’arts des musiciens et des peintres haïtiens.

Ce projet génial, notre cause à tous, l’étranger qui foulera notre sol et qui avait entendu parler de Gérard Dupervil, Nemours Jn Baptiste, Roger Colas, Ulrick P. Louis et j’en passe, aura la chance de voir ou de palper un objet appartenant à ces génies.

Nous avons besoin d’un marché de l’art digne de nom au Cap-Haitien.

Haïti, Cap-Haitien
Date : le 17/10/2015
Publiée par Artistesbiographies

Artistesbiographies: Y-a-t-il un marché de l’art au Cap-Haitien ?

Gregory Leonidas : Il y a bien un semblant de marché, mais il serait « informel ». « C’est un peu la jungle, il n’est pas régis par une réglementation de la part des institutions étatiques. Il n’y a qu’un marché tourisme, ici au Cap Haïtien. Quel marché tourisme alors ?


Le marché de l’art est inexistant au Cap-Haitien, je pourrais dire même en Haïti. On ne peut pas parler de marché de l’art puisqu’il n’y a pas de réglementation ni organisation, puisque les lieux de diffusion de l’art - les galeries en particulier - se comptent sur les doigts d’une main, puisqu’il n’y a ni critique d’art ni presse spécialisée. 
Il n’y a que quelques galeries à Port-au-Prince et ce sont elles qui fixent les règles du jeu. En gros, la production artistique en elle-même reste faible ici au Cap-Haitien. Nous avons besoin d’un marché de l’art digne de nom au Cap-Haitien.



j’ai dû peindre environ 4000 ou peut-être 5000 aquarelles entre 1987 et 1990

Date: le 17/102015
Realisee par Ab. O.
Publiee par Artistesbiographies

L’interview de l’international  Martiniquais, l’artiste peintre Fred EUCHARIS

Artistesbiographies: Fred, Comment êtes-vous devenu un artiste peintre ?
Fred Eucharis : Très jeune j’étais fasciné par la BD de l’époque : Blek le Roc , Kid Carson, Tarzan, le surfeur d’argent…je créais des scénarii et je découpais de petites bandes de papier sur lesquelles je recopiais les attitudes de mes personnages de l’histoire.il fallait ensuite enrouler autour d’un crayon les bandes de papier et d’un mouvement assez rapide de droite à gauche, les faire défiler en animation…
Mon père qui était Ingénieur des Arts et Métiers, dans son bureau à la maison, avait pour habitude de griffonner en téléphonant. Dès qu’il avait raccroché il reprenait avec sérieux son graphique incohérent et s’amusait à harmoniser les traits, les formes. L’heure du repas sonnée, j’attendais que tout le monde soit à table pour récupérer tous ses brouillons riches de figures contemporaines. A mon tour j’y apportais ma vision d’art moderne. J’avais 15 ans.

Artistesbiographies: Êtes- vous autodidacte –avez-vous suivi une formation ?
Fred Eucharis : A 15 ans (1961) ma mère me propose de prendre des cours. J’avais déjà repéré le seul atelier de peinture rue Victor Hugo à Fort de France tenue par la fille (Mlle PEU) d’un grand peintre. j’y ai appris beaucoup, d’abord à OBSERVER, ensuite à placer les ombres et lumières. Cela a duré 1 an. Ensuite. j’ai continué tout seul en peignant tout ce qui me passait par la tête, j’effaçais et recommençais. J’ai essayé la Famous  Artist School par correspondance, ça a duré un an aussi.

Artistesbiographies: En terme d’expositions (galeries, expositions personnelles ou autres salons), pouvez-vous retracer votre parcours dans les ou avez grandes lignes ?

Fred Eucharis : j’ai dû peindre environ 4000 ou peut-être 5000 aquarelles entre 1987 et 1990, elles sont toutes parties sur des avions et bateaux de croisières, accrochées maintenant sur des murs américains, belges, français.. Je ne sais plus. J’ai fait des tee shirt personnalisées aussi, peins mains, puis un artiste peintre un jour m’a conseillé d’essayer l’acrylique et d’exposer. J’ai essayé longtemps de préparer une collection à exposer, cela m’était et est toujours difficile car mes œuvres étaient vendues sur chevalet à peine terminées. j’ai enfin fait ma 1ère expo (hall du conseil Gal) 18 toiles 15 de vendues. Gauguin disait qu’il était important  de participer au début, aux expos collectives, conseils suivi avec des artistes que j’aimais bien : Carine Hayot, Martine Porry, Charpentier, Dumbardon, cela permettait de mieux comparer le travail de chacun, et me permettais aussi de me vendre mieux. J’ai fait en 25 ans 3 ou 4 expo personnelles, 3 autres restaient collectives. le reste du temps ma peinture ne stagne pas plus d’un an à la maison. Elle est vendue aux gens d’affaires de passages Dernièrement je me suis arrêté, volontairement de vendre pendant 3 ans afin de monter une collection à exposer. Une fois l’objectif atteint soit 31 toiles j’ai exposé à la Galerie Tout’ Koulè à la Poterie des 3 ilets. c’est une excellente Galerie tenue par Clarisse bagoé Dubosq et qui a bien démarré il y a 3 ans avec des artistes tels :Luz Severino, Vida Verba, Christophe Mert.. etc. Cette exposition a explosé le mois de décembre et fut prolongée en janvier. Six mois après la galeriste me demande si je ne veux pas occuper les murs durant son absence plutôt que fermer 2 mois. Et pourtant c’était les vacances j’ai de nouveau explosé la demande des collectionneurs, sur une prolongation de 1 mois 1 semaine.

Artistesbiographies: Fred Eucharis, Votre tendance picturale actuelle est-elle identique à celle de vos débuts ou bien avez-vous connu une réelle  ‘mutation artistique’ ?
Fred Eucharis : Il y avait une centaine de peintres à l’époque (1986) qui œuvraient presque tous dans le contemporain (hum !)il a fallu que je montre ce que je savais faire et qu’eux ne savaient pas, malgré les écoles réputées déjà en place. donc j’ai œuvré dans le figuratif : paysages, maisons et jardins créoles, marchés.. puis petit à petit j’ai utilisé la technique de Kandinsky : partir du figuratif vers l’abstraction par les formes et les couleurs, en éliminant les traits parasites pour n’obtenir que l’expression de mon émotion du départ. Ç’est de la « Figurabstraction »

Artistesbiographies: Parlez-nous des différentes techniques que vous maitrisez ?
Fred Eucharis : L’huile mais difficile au séchage en Martinique, donc  inintéressant ; l’aquarelle que j’ai travaillée pure et maitrisée jusqu’en 1990..et maintenant je découvre tous les jours les aspects et surprises de l’acrylique.

Artistesbiographies: Où puisez-vous généralement votre inspiration?
Fred Eucharis : Dieu n’a-t-il pas crée les artistes afin d’achever et montrer la beauté de la nature dans toute sa lumière.

Artistesbiographies: Fred Eucharis, Où peut-on trouver et voir vos tableaux ?

Fred Eucharis : Chez moi sur RDV 0596.68.60.66 /0696.98.84.35

vendredi 16 octobre 2015

Le bilan est plus que positif de cette expérience

Date le 16/10/2015
Publiée par Artistesbiographies


Artistesbiographies : Votre expo a pris fin hier 15 octobre 2015, Quel est ton bilan en termes de visiteurs? Es-tu déçu ? Le bilan est-il à la hauteur de tes espérances ?
Pierre Paul MarchiniCette exposition me tenait vraiment à coeur, exposer dans ma belle ville d'Ajaccio, après Paris, Miami, New York, Toulouse etc., j'avais hâte de retrouver un public local. Je dois dire que j'ai été comblé aussi bien par le nombre de visiteurs que par les nombreuses marques de sympathie à mon égard ainsi que les commentaires sur mon travail. Je garderais un souvenir indélébile de ces 2 semaines, le bilan est plus que positif de cette expérience tant au niveau artistique que sentimental. Je pense par ailleurs renouveler l'évènement l'année prochaine.

Artistesbiographies : As-tu d’autres projets à venir ?

Pierre Paul Marchini: L’année prochaine risque d'être en effet bien remplie, avec des expositions en Italie. On m'a également demandé d'exposer exposer au Musée du sud du Nevada des Beaux-Arts à Las Vegas pour une manifestation d'envergure internationale puisqu'elle regroupera les artistes présentés dans le livre" Les artistes internationaux maîtres contemporains volumes 10" en collaboration avec Despina Tunberg commissaire d'exposition. Des projets très intéressants donc pour l'avenir si dieu le veut..

Artistesbiographies :Un mot spécial à vos clients et vos visiteurs ?

Pierre Paul Marchini: Simplement un grand merci et à très bientôt j'espère. Je voudrais également remercier les organisateurs et en particulier Monsieur Mario Sepulcre un artiste extraordinaire et un homme de cœur

Fabienne Rousseau participe au deuxième salon d'art contemporain art3f de Nice

Artistesbiographies : Vous allez participer au salon international  d’art contemporain qui se tiendra  du  16 au 18 octobre 2015 à Nice, Quelles sont  vos attentes concernant ce grand événement  artistique?
Fabienne Rousseau : Je propose au salon une nouvelle collection qui est « Portraits ethniques ». Le salon va me permettre de voir si elle plait au public. J’aimerai également avoir de nouveaux contacts tels que des galeries pour présenter mon travail.

mercredi 14 octobre 2015

Interview de l’artiste peintre français Fabienne Rousseau

Date : 14/10/2015
Réalisée par Artistesbiographies :

Artistesbiographies : Qu’est-ce qui vous plaît dans votre métier d’artiste  Fabienne Rousseau?

Fabienne Rousseau : Certainement le fait de ne pas avoir l’impression de travailler !

La peinture, le dessin et l’Art en général, sont ma passion depuis ma plus tendre enfance…

Artistesbiographies : Où puisez-vous généralement votre inspiration?
Fabienne Rousseau : Je m’inspire de mon quotidien et de mes voyages.  Les gens qui m’entourent…

Artistesbiographies : Votre tendance picturale actuelle est-elle identique à celle de vos débuts ou bien avez-vous connu une réelle ‘mutation artistique’ ? 
Fabienne Rousseau : J’ai commencé en tant que fresquiste. Je proposais des trompe-l’œil. Aujourd’hui je peins les corps, les femmes, des portraits, donc oui il y a mutation Artistique !
Cependant, je peins d’une façon hyperréaliste. Cela me vient certainement de mon ancienne école !

Artistesbiographies : Pourquoi  avez-vous  laissé les styles suivants : trompes-l’ œil, fresques et patines ?
Fabienne Rousseau : J’ai commencé ma carrière « d’Artiste » en tant que Fresquiste. J’avais un atelier sur Vallauris. C’était passionnant, mais cela restait de la décoration avec des commandes et de grosses contraintes.
 Après un break de quelques années pour m’occuper de mes 2 fils, je n’avais plus du tout envie de ces contrainte, mais une vraie envie de créer !

Artistesbiographies : Pendant votre pause de quelques années dans la peinture avez-vous toujours l’envie de peindre ?
Fabienne Rousseau : L’envie de peindre, de créer ne me quitte et ne m’a jamais quittée. Par contre, dans mon cas,  j’aime faire des pauses. Cela me permet de prendre du recul sur mes œuvres et être plus critique, plus créative !

Artistesbiographies : Qu'est-ce qui fait l'originalité de ton travail ?
Fabienne Rousseau : Ce n’est peut-être pas à moi de répondre…
Je dirais peut être ce travail hyperréaliste sur une toile de lin Brut…

Artistesbiographies : Vous allez participer au salon international  d’art contemporain qui se tiendra  du  16 au 18 octobre 2015 à Nice, Quelles sont  vos attentes concernant ce grand événement  artistique?

Fabienne Rousseau : Je propose au salon une nouvelle collection qui est « Portraits ethniques ». Le salon va me permettre de voir si elle plait au public. J’aimerai également avoir de nouveaux contacts tels que des galeries pour présenter mon travail.

Artistesbiographies : Où pouvons-nous vous découvrir  après Art3f ?
Fabienne Rousseau : Je suis exposée sur Monaco au Quai des Artistes jusqu’en Novembre, et je vais probablement faire le salon Art 3F de Paris en Février.

Artistesbiographies : Quand  entrerez-vous dans  l’Index complet  qui compte aujourd’hui  601 035 artistes recensés aujourd’hui par Artprice.com ?
Fabienne Rousseau : Pour l’instant je ne m’y suis pas du tout intéressée.

Artistesbiographies : As-tu d’autres projets à venir ? Si oui, lesquels ?

Fabienne Rousseau : Je m’occupe en parallèle depuis peu d’enfants dans les écoles. J’adore ce coté transmission que peut offrir nos métiers. Ce qui est fabuleux avec les enfants, c’est qu’ils ne mentent pas, et leurs créations non plus… Je vais développer ça de plus en plus … Et évidemment d’autres expositions en attentes…

mardi 13 octobre 2015

Marché de l'art haïtien: comment connaître la cote d'un artiste?

Artistesbiographies: comment connaître la cote d'un artiste?

Abdience Obin:Avant d'acheter œuvre, vous devez avoir une indication de la valeur des artistes ou des objets vous intéressant. Elle vous aidera à déterminer votre prix le jour des enchères. En pratique, il existe de nombreuses sources d'information.

Plus de 80 % des jeunes artistes et sculpteurs haïtiens n’ont pas une cotation international.

« Les transactions se font donc librement entre l'artiste et l'acheteur sans connaitre la cotation de l’artiste. Chaque artiste peintre décide lui-même ses propres prix, des prix irréels des œuvres en dehors de tout critère objectif. Il réclame des prix de grands » 

Pour les dessins, les peintures, les sculptures et les études régulières de marché, le site artprice.com est absolument indispensable. 
Moyennant le paiement d'un abonnement minimal de 148 euros par an, il vous donne tous les résultats des ventes de l'artiste de votre choix. Si vous souhaitez aller plus loin et avoir des informations sur toutes les ventes dans le monde et accéder à des biographies d'artistes, l'abonnement passe à 178,20 euros.
Vous pouvez aussi vous abonner à Arnet.fr. L'abonnement annuel varie entre 225 euros et 326 euros.

Pour le mobilier et les objets d'art, la recherche est plus difficile. Vous pouvez consulter auction.fr ou le site de la Gazette de l'hôtel Drouot, à condition d'être abonné pour 105 euros par an.

Sur plus de 180 dossiers reçus par le salon art3f, 130 ont été sélectionnés.

Date : 13/10/2015
Réalisée par : Abdience OBIN
Publiée par : Artistesbiographies

Artistesbiographies :
Pouvez-vous nous citer quelques nouvelles galeries qui font leur entrée ?

Serge Beninca: Parmi les nouvelles arrivées, la galerie Joël Guyot et la galerie Vladimir Rustinoff du 06, la galerie art83 et la « Michael Petronko Gallery » de New-York. Obey (Shepard Fairey), Keith Haring, Jean Cocteau, Pablo Picasso, Jeff Koons, Cesar, Robert Combas, Ben, C215, Calder, autant de signatures prestigieuses représentées par ces galeries, et la liste ne s'arrête pas là !

Artistesbiographies :
Quels sont les critères de sélection des galeries ?

Serge Beninca: Les galeries et les artistes présents sur le salon sont sélectionnés sur dossier par le comité de sélection art3f, constitué de 2 galeristes, 2 artistes et 2 collectionneurs.

Différents critères entrent en jeu, le CV, le choix des œuvres qui seront exposées... Sans porter de jugement de valeur ou se laisser influencer par des goûts personnels, les membres du comité veillent à la noblesse et à la bonne tenue du salon, à sa crédibilité et à son homogénéité.